Une joie débordante !Ce que je découvre, lors des CoCo avec notre bébé, nous sert dans la vie quotidienne également avec ses grands frère et sœurs. En particulier lorsque j’ai découvert que notre bébé pouvait pleurer pour exprimer des émotions « positives » agréables, je me suis aperçue qu’on n’accordait pas toujours autant d’attention aux manifestations des émotions agréables – la joie en particulier – qu’aux expressions des émotions désagréables chez nos « grands-pas-si-grands ». ![]() Je me souviens d’une fois, juste après cette découverte en CoCo avec notre dernier-né, où son frère de 7 ans et ½ était rentré de l’école manifestement en grande joie. Et cette joie débordait tellement qu’il n’arrivait pas à parler ni même à dire « je suis content ». Il m’a demandé alors les mêmes astuces qu’il utilise pour contenir une trop grande colère ou tristesse, à savoir regarder un écran. J’ai refusé et ai alors accordé une attention particulière à notre fils à ce moment-là, et à son émotion intense qui ressemblait à de la joie. Je lui ai proposé de dire « je suis content ! » aussi fort et aussi vite que possible en le répétant autant de fois qu’il en avait besoin, si c’était bien l’émotion concernée. Il l’a fait avec conviction et sourire jusqu’aux lèvres. Ce n’était manifestement pas suffisant et je lui ai alors proposé de dessiner ce qui se passait à l’intérieur de lui, comme il le faisait parfois pour la colère ou la tristesse. Il en a été enchanté et s’est rué sur un crayon et une feuille. Il a pu exprimer sur papier, puis en origami qu’il a colorié, toute son émotion agréable tellement intense qu’elle le dépassait. Au bout d’un quart d’heure, ça l’a apaisé et il a pu ensuite seulement parler de l’évènement à la source de sa joie : une dictée réussie J. Je me suis aperçue qu’il y a de nombreux moments où il finit par exploser de colère à la maison peut-être simplement parce qu’une grande émotion agréable du type de la joie ou de la gratitude n’a pas pu être exprimée ou entendue en temps et en heure. C’est dommage ! Depuis, j’y fais plus attention et c’est plus confortable pour chacun. Il m’est arrivé aussi de faire une CoCo directement avec un de nos « grands-enfants-pas-si-grands » à propos d’un stress scolaire notable. On a démarré en sa présence et puis il est parti à l’école et j’ai continué à distance. Ca a été vraiment intéressant – comme toujours ;-) ! – et en mettant à jour un besoin profond et une émotion ancienne, ça nous a donné très rapidement des pistes pour l’aider. Même si je ne me sers pas de la communication connectée fréquemment, lorsque nous l’utilisons c’est toujours une expérience unique, surprenante et porteuse de réflexion utile à toute la famille ensuite. Rachel
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![]() Je suis maman de 4 enfants et je pratique la Communication Connectée à la maison depuis ma dernière grossesse. Et puis une fois, j’ai proposé cette approche à une amie et son bébé qui venaient de vivre une expérience de vie particulière. Son bébé était vraiment agité et n’arrivait pas à s’endormir malgré sa fatigue et les câlins en écharpe contre sa maman. En discutant avec le bébé et avec sa maman, ils ont pu exprimer chacun ce qui était nécessaire pour eux à ce moment-là. Et quand la maman a pu enfin dire ce que ELLE avait ressenti lors de l'expérience forte qu’évoquait son bébé, celui-ci s’est endormi tout net ! C’est ce qu’il venait de « demander » à sa maman par l’intermédiaire de la CoCo et son besoin était à présent comblé. C’était une expérience très émouvante pour moi aussi. J'ai pris conscience que nos enfants, à tout âge, ont certes besoin d’être écoutés et entendus mais qu'ils peuvent aussi avoir besoin d’entendre notre ressenti, à nous, après une situation vécue en commun. C’est aussi l’occasion pour nous, parents, d’apprendre à exprimer verbalement nos propres émotions. Rachel Quand j'étais bébé, je voulais te le dire... mais je ne savais pas comment faire !![]() Un soir, j’ai proposé une Communication Connectée à notre bébé à propos du déroulement de ses couchers et endormissements. Cela a abouti à un chouette échange que voici entre nos deux garçons de 8 ans et 8 mois. Ces derniers temps, malgré une fatigue évidente, notre bébé ne voulait pas se coucher et s'agrippait à moi comme pour se "sauver de la chambre". Il s'endormait rapidement ensuite en position verticale sur moi, en écharpe ou dans les bras. Mais il était difficile de le poser, alors que cela ne posait pas trop de problème auparavant. La « CoCo » a mis à jour qu'il avait bien conscience d'être fatigué et de vouloir dormir mais qu'il ne voulait pas s'allonger de peur d'avoir mal à cause de rots fréquents, apparemment douloureux. Il était presque en panique physique quand ce sujet a été mis à jour. En discutant ensemble, on cherchait une solution à la fois pour diminuer la peur (d'avoir mal) ou/et un outil corporel de détente à mettre en œuvre avant les rots pour qu'ils sortent plus facilement et soient moins douloureux. Là-dessus, notre "grand" garçon arrive et je lui explique ce qui se passe. - Lui : « Moi aussi ça me faisait ça des fois - Moi (interloquée) : « Récemment ou quand tu étais bébé ? » - « Les deux » - « Ok et comment tu faisais alors ? » - « Je me détendais » - « Tu veux bien expliquer ou montrer à ton frère comment faire ? » (frère qui le regardait et ne perdait pas une miette de l'échange). Notre grand pose alors une main sur son petit frère et se détend. Je sens moi aussi la détente à travers mon corps qui se communique de l’un à l’autre. Le bébé s'apaise et... le rot sort discrètement ! Je le lui fais remarquer et il se jette vers son grand frère pour l'entourer de ses bras avec un grand sourire et le mot "merci" me vient à l'esprit de sa part à destination de son grand frère. Quelques minutes après, mon grand me dit « je voulais te le dire que je faisais ça, mais je ne m'en souvenais plus. Et quand j'étais bébé, je ne savais pas comment te le dire ». Il fait une pause et reprend :
- « Je suis content, ça marche encore. » - « Quoi ? » - « De me détendre, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas fait ! » - « OK. Est-ce que ça pourra te servir, à toi aussi, à nouveau dans ta vie quotidienne ? » - « Oui, je pense. » C'était magnifique. De voir ces deux grands petits bouts communiquer ainsi et se faire du bien réciproquement, c'est quand même vraiment magique :-) Merci, merci ! Rachel ![]() Ce matin, mon bébé de 8 mois était agité. Petits cris « de souris », agitation des bras, grimaces, rien de très franc en terme de communication par rapport à d’habitude... Je lui ai proposé de téter mais ce n'était pas ça. Ca ressemblait à de la fatigue alors je l’ai posé dans son lit. Il a souri, s’est mis à jouer tranquillement dans son lit mais très vite, les petits cris reprennent et s’amplifient. Je le reprends avec moi et lui propose de me montrer où il veut aller ou ce qu’il veut faire. Il se penche en avant puis sur le côté et je le « suis » (en le portant) comme ça dans la maison. On passe par la cuisine où il réclame une banane puis s’agite à nouveau. Direction la salle de bain, nettoyage des mains, il joue avec l’eau en souriant puis nouvelle agitation. On retourne dans la chambre et je lui dis que je ne comprends pas : il a baillé plusieurs fois mais manifestement il ne veut pas rester dans son lit ni téter. Il signe alors « changer la couche » avec sa main et je sens qu’il veut plutôt faire caca mais ma sensation n’est pas très claire. Je tente une communication connectée car je ne comprends pas bien ce qui se passe pour lui. J’ai l’impression qu’il est fatigué mais manifestement il ne veut pas dormir. Je tombe sur « quelque chose à dire » et « un autre besoin ». C’est impressionnant car je fais cette CoCo à voix haute à côté de lui, et il dit « nê » à chaque fois en même temps que mon test musculaire donne un « non ». « Nê » pour lui veut dire « non », il l’a déjà employé dans d’autres circonstances fort à propos. Et quand le test dit « oui », il ne dit rien mais me regarde. Je lui propose de faire caca aux toilettes, c’est « nê », faire caca sur le pot c’est « oui », faire caca dans la couche c’est « nê ». Là je me dis que j’ai vraiment intérêt à être précise quand je lui pose des questions si je veux vraiment comprendre ce qu’il veut dire. Je l’emmène donc sur le pot. Il y fait pipi puis se détend complètement, mais pas de caca. Je demande alors « est-ce que tu as BESOIN de faire caca ? ». Non. « Est-ce que tu VEUX faire caca ? ». Oui ! Effectivement, vouloir faire caca sans en avoir besoin, ça peut poser un souci ! Je lui explique donc la différence entre besoin et envie. Je lui dis qu’il élimine par l’urine et les selles ce que son corps a BESOIN d’éliminer mais que ce n’est pas une activité volontaire, ce n’est pas sa volonté qui peut être à l’origine de ce type d’action. Il écoute toute ouïe, tout détendu. Je lui redemande s’il a besoin, s’il a envie de faire caca, c’est non. S’il a envie de rester dans cette position HNI, c’est oui. Il reste paisible un bon moment. Jusqu’à ce qu’il bouge et se tortille, le signal que c’est fini, puis je le ramène dans la chambre. Au début de la CoCo, un « autre besoin » était sorti. Je retourne sur ce point… - De quel besoin s’agit-il ? « Elimination ? ». C’est non. - « Téter ? ». Non plus. - « Besoin de dormir ». C’est oui. Je recentre sur la partie « quelque chose à exprimer » : une émotion, ce qu’il ressent là maintenant. Je me détends et propose : - « Détendu ». C’est non. - « Apaisé ». Non plus. Et ce qui me vient, c’est « complexé ». - Réponse : un oui bizarre. Pas tout à fait ça donc. - « Complexe ? ». Oui. - « Tu te sens complexé ? ». Non. - « Tu te sens complexe ? ». Oui / non. - « La situation que tu vis là est complexe ? ». Oui franc et massif. Et oui, il avait ENVIE de jouer, de manger, de faire caca. Mais, en fait, il avait BESOIN de dormir, de faire pipi et de sucer son pouce. - « Tu voudrais pouvoir décider avec ta tête ce que tu vas faire indépendamment des besoins de ton corps ? ». Oui franc et massif. Ca me parle car je ressens fréquemment la même chose, et son frère et sa sœur aussi. Je lui dis alors que je comprends bien, qu’il n’est pas seul dans ce cas-là et je lui explique les mérites du sommeil sur son cerveau et l’utilité de récupérer de l’énergie pour ensuite pouvoir jouer. Le calme s’installe un instant, mais l’agitation est de retour. Il tire et penche vers son lit. Je lui demande s’il veut que je le couche maintenant. Oui. Je le pose. Il prend son pouce immédiatement et ses yeux tombent de sommeil. Il a l’air un peu triste mais bien là où il est. Il semble ok avec l’idée de dormir tout bientôt. Je le regarde tendrement et lui propose de me déconnecter. Non ! Je me plonge dans ses yeux et là il me dit : je t’aime maman. Je l’aime aussi (!) et le remercie pour cet échange. Je lui demande si je peux raconter ce qu’on vient de s’échanger. Il me dit oui en test musculaire avec un petit mouvement de la tête et des yeux en même temps, comme on fait entre « grands ». C’est magique. On peut ensuite se déconnecter et ses yeux se ferment d’un coup avec un soupir de détente. Comme quoi... à 8 mois, on peut aussi avoir des conflits intérieurs identiques à ceux des « grands » ! Avoir envie d’autre chose que de ce dont on a besoin. Avoir envie de croquer la vie, de jouer, d’expérimenter par exemple. Et quand nous, adultes, nous ne comprenons pas ce qui se passe chez notre bébé, et bien, il se peut que, lui non plus, ne comprenne bien pas ce qui se passe en lui finalement... Comme quoi, la vie de bébé, c’est bien connu… c’est « tranquille et rien à penser » ;-) ! Rachel ![]() J'ai découvert la communication connectée par "hasard" sur facebook. J’ai acheté le livre et je me suis lancée avec le test musculaire. Lorsque notre bébé avait 5 mois ½, nous avons vécu une expérience particulière de Communication Connectée avec lui. Ce jour-là, après le repas, il montrait plusieurs signes de fatigue. Après l’avoir changé, je suis allée dans notre chambre pour le coucher. Il se frottait les yeux en chignant. Je lui ai proposé le sein mais il n’en voulait pas. Il tirait en arrière comme pour s'allonger, un signe chez lui - depuis sa naissance - pour dire qu'il veut dormir. Je le couche, lui fais un bisou et sors de la chambre comme d'habitude. Mais cette fois-ci il continue à râloter un bon moment. Je retourne alors dans la chambre mais en me voyant il se met à pleurer franchement et à s’agiter. Je le reprends dans mes bras, lui propose à nouveau de téter, je vérifie qu’il n’a pas un petit rot coincé. Mais non. Rien de tout ça. Il ne s’apaise pas et tire de nouveau en arrière vers le lit. Rebelote, je le couche à nouveau, lui parle, le reprends, le recouche plusieurs fois de suite. Il pleure toujours ! Je pense alors à tenter une communication connectée sans qu’il soit présent, juste derrière la porte. Pour voir s'il a quelque chose à dire, à comprendre, à demander ou un autre besoin encore. On tombe sur « Besoin » : fatigué, besoin de dormir. Logique vu les signaux corporels. Puis « dire quelque chose ». Quoi ? Son « émotion », « de l'instant ». Je me détends pour laisser venir des propositions et là je tombe sur : « maman, merci de m'avoir couché dans mon lit » ! Je reformule pour être sûre mais c’est bien ça ! Je vérifie alors que tout va bien pour lui, qu'il est fatigué, qu’il se sent bien dans son lit et j'arrête la communication connectée. Les pleurs et chignements se sont arrêtés net et … il s’est endormi ! On aurait pu tourner en rond longtemps comme ça : lui chignant pour me dire qu'il était bien là où il était et me remerciant de l'y avoir mis ; et moi croyant qu'il y avait un souci puisqu'on associe généralement ‘pleurs’ (ou chignements) avec ‘problème’ !! Apparemment, le seul « problème » ici était simplement que notre bébé n’arrivait à faire entendre son contentement et sa gratitude. Des émotions agréables ! Je me rends compte qu'il y a probablement eu de nombreux quiproquos avec nos aînés lorsqu'ils étaient bébés sur l'interprétation de leurs pleurs et agitations, mais c'est comme ça ! Ils vont bien "quand même" :-) Rachel J’avais d’abord fait l’expérience du test musculaire sur moi-même Cette approche m’a parlé car j’ai toujours été « connectée », plus ou moins, avec mes enfants dès la naissance, étant sensible à leurs petits signaux corporels de communication. Lors de séances de soin pour moi, j’avais trouvé vraiment étonnant mais très parlant cette idée que le tonus musculaire était différent selon que l’on était en accord avec ce que l’on disait ou non, ce qui produit le « oui » ou le « non » du test musculaire. Je me souviens en particulier du jour où mon amie m’avait fait dire « je suis une fille », puis « je suis un garçon », en poussant de façon identique à chaque fois. J’avais vraiment l’impression de résister à sa poussée avec la même intention dans les deux cas mais ma réponse musculaire avait été considérablement différente, contre ma volonté. « Je suis une fille », mon bras avait tenu en position malgré la poussée forte que mon amie exerçait pour l’abaisser. « Je suis un garçon », mon bras était tombé, les muscles avaient lâché alors que mon intention de mouvement était la même qu’à la proposition précédente. Je ne sais pas comment ça marche, mais je vois bien le résultat ! J’ai donc ensuite essayé, grâce au test musculaire, la Communication Connectée avec notre bébé lorsque j’étais enceinte. Je ne peux toujours pas expliquer comment cela fonctionne, même si j’ai quelques idées. Je ne peux toujours pas être sûre que ce qui se « dit » à travers ce moyen est bien réellement ce que pense et voudrait dire l’enfant, encore moins pendant la grossesse. Mais ce que je peux dire, c’est qu’il y a toujours eu un effet corporel « visible » lors des expériences de « CoCo » que nous avons faites, avec un certain apaisement notable. Pendant la grossesse, notre bébé bougeait beaucoup, avait souvent le hoquet et ses mouvements étaient parfois saccadés et franchement désagréables pour moi, ce qui n’avait pas été le cas lors de mes précédentes grossesses. J’ai fait trois CoCo pendant la grossesse et à chaque fois, les mouvements du bébé ont changé de nature juste après la déconnexion et l’assurance que tout était OK pour lui. Soit les mouvements s’arrêtaient, le bébé s’apaisait, soit ils devenaient plus doux, agréables et confortables, avec une sensation d’apaisement pour moi aussi. Depuis qu’il est né et a grandi, je note toujours des mouvements corporels à la fin des CoCo, mais souvent aussi pendant. Parfois l’agitation ou les pleurs redoublent lorsqu’on « discute » comme ça, comme avec nos enfants plus grands lors de communications verbales plus classiques, comme si le fait d’être écouté permettait aux émotions de s’exprimer plus clairement et bruyamment parfois. Mais très souvent, à la fin d’une CoCo, notre bébé s’apaise. Avec la CoCo, j’ai développé mes perceptions et j’ai découvert l’univers de notre bébé… ![]() La pratique de la Communication Connectée a affiné encore plus ma perception des signaux corporels, verbaux, non verbaux. Une sorte d’intuition « 6e sens » s’est développé entre notre bébé et moi, et entre notre bébé et son papa aussi même si celui-ci ne pratique pas la CoCo. J’ai remarqué aussi, lors des CoCo, que certains sujets ou notions de notre vie courante étaient inconnus pour notre bébé. Le temps par exemple. En particulier pendant la grossesse. Alors que j’avais des contractions, je lui avais expliqué qu’il serait plus prudent qu’il attende encore avant de naître, qu’il avait le temps, car on était trop tôt dans la grossesse. Il m’avait dit qu’il ne comprenait pas le mot « temps ». Et là, je m’étais retrouvée bien bête à ne pas trop savoir comment le lui expliquer ! C’est pareil, certaines de nos évidences ne le sont pas pour lui. Lorsque je lui avais demandé qui il voulait avoir de présent à sa naissance, il avait commencé par me citer moi :-). C’était très émouvant d’ailleurs car si, pour moi, il était évident que moi enceinte je serais là à mon accouchement et à sa naissance, pour lui avec ses perceptions et son mode de pensée de fœtus ce n’était pas évident. C’était donc un vrai choix de me demander d’être là ! Notre bébé reste un bébé - pour l’instant ;-) - mais nous le considérons encore plus avec ses capacités de réflexion et de pensée propres et internes, qui peuvent être très élaborées même s’il ne peut les exprimer seul tant que son corps ne sera pas suffisamment mature pour produire des sons. C’est un outil précieux. Merci ! Rachel |
Qui écrit ?Ici, c'est la page des parents qui ont envie de raconter leur expérience avec la communication connectée. Comment ça se passe pour eux, qu'est-ce que ça change à la maison, qu'est-ce ça leur a apporté... Categories
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June 2015
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