Apprenez la Communication Connectée et découvrez tout un univers...
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Avoir « besoin » et « envie » de quelque chose, c'est différent !

13/5/2015

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Ce matin, mon bébé de 8 mois était agité. Petits cris « de souris », agitation des bras, grimaces, rien de très franc en terme de communication par rapport à d’habitude... Je lui ai proposé de téter mais ce n'était pas ça. Ca ressemblait à de la fatigue alors je l’ai posé dans son lit.

Il a souri, s’est mis à jouer tranquillement dans son lit mais très vite, les petits cris reprennent et s’amplifient. Je le reprends avec moi et lui propose de me montrer où il veut aller ou ce qu’il veut faire. Il se penche en avant puis sur le côté et je le « suis » (en le portant) comme ça dans la maison. On passe par la cuisine où il réclame une banane puis s’agite à nouveau.
Direction la salle de bain, nettoyage des mains, il joue avec l’eau en souriant puis nouvelle agitation. On retourne dans la chambre et je lui dis que je ne comprends pas : il a baillé plusieurs fois mais manifestement il ne veut pas rester dans son lit ni téter.


Il signe alors « changer la couche » avec sa main et je sens qu’il veut plutôt faire caca mais ma sensation n’est pas très claire. Je tente une communication connectée car  je ne comprends pas bien ce qui se passe pour lui. J’ai l’impression qu’il est fatigué mais manifestement il ne veut pas dormir.

Je tombe sur « quelque chose à dire » et « un autre besoin ». C’est impressionnant car je fais cette CoCo à voix haute à côté de lui, et il dit « nê » à chaque fois en même temps que mon test musculaire donne un « non ». « Nê » pour lui veut dire « non », il l’a déjà employé dans d’autres circonstances fort à propos. Et quand le test dit « oui », il ne dit rien mais me regarde.

Je lui propose de faire caca aux toilettes, c’est « nê », faire caca sur le pot c’est « oui », faire caca dans la couche c’est « nê ». Là je me dis que j’ai vraiment intérêt à être précise quand je lui pose des questions si je veux vraiment comprendre ce qu’il veut dire.

Je l’emmène donc sur le pot. Il y fait pipi puis se détend complètement, mais pas de caca. Je demande alors « est-ce que tu as BESOIN de faire caca ? ». Non. « Est-ce que tu VEUX faire caca ? ». Oui ! Effectivement, vouloir faire caca sans en avoir besoin, ça peut poser un souci !

Je lui explique donc la différence entre besoin et envie. Je lui dis qu’il élimine par l’urine et les selles ce que son corps a BESOIN d’éliminer mais que ce n’est pas une activité volontaire, ce n’est pas sa volonté qui peut être à l’origine de ce type d’action. Il écoute toute ouïe, tout détendu. Je lui redemande s’il a besoin, s’il a envie de faire caca, c’est non. S’il a envie de rester dans cette position HNI, c’est oui. Il reste paisible un bon moment. Jusqu’à ce qu’il bouge et se tortille, le signal que c’est fini, puis je le ramène dans la chambre.

Au début de la CoCo, un « autre besoin » était sorti. Je retourne sur ce point…
- De quel besoin s’agit-il ? « Elimination ? ». C’est non.
- « Téter ? ». Non plus.
- « Besoin de dormir ». C’est oui.

Je recentre sur la partie « quelque chose à exprimer » : une émotion, ce qu’il ressent là maintenant. Je me détends et propose :
- « Détendu ». C’est non.
- « Apaisé ». Non plus. 

Et ce qui me vient, c’est « complexé ».
- Réponse : un oui bizarre. Pas tout à fait ça donc.
- « Complexe ? ». Oui.
- « Tu te sens complexé ? ». Non.
- « Tu te sens complexe ? ». Oui / non.
- « La situation que tu vis là est complexe ? ». Oui franc et massif.

Et oui, il avait ENVIE de jouer, de manger, de faire caca. Mais, en fait, il avait BESOIN de dormir, de faire pipi et de sucer son pouce.

- « Tu voudrais pouvoir décider avec ta tête ce que tu vas faire indépendamment des besoins de ton corps ? ». Oui franc et massif.

Ca me parle car je ressens fréquemment la même chose, et son frère et sa sœur aussi. Je lui dis alors que je comprends bien, qu’il n’est pas seul dans ce cas-là et je lui explique les mérites du sommeil sur son cerveau et l’utilité de récupérer de l’énergie pour ensuite pouvoir jouer.

Le calme s’installe un instant, mais l’agitation est de retour. Il tire et penche vers son lit. Je lui demande s’il veut que je le couche maintenant. Oui. Je le pose. Il prend son pouce immédiatement et ses yeux tombent de sommeil. Il a l’air un peu triste mais bien là où il est. Il semble ok avec l’idée de dormir tout bientôt. Je le regarde tendrement et lui propose de me déconnecter. Non !

Je me plonge dans ses yeux et là il me dit : je t’aime maman. Je l’aime aussi (!) et le remercie pour cet échange. Je lui demande si je peux raconter ce qu’on vient de s’échanger. Il me dit oui en test musculaire avec un petit mouvement de la tête et des yeux en même temps, comme on fait entre « grands ». C’est magique. On peut ensuite se déconnecter et ses yeux se ferment d’un coup avec un soupir de détente.

Comme quoi... à 8 mois, on peut aussi avoir des conflits intérieurs identiques à ceux des « grands » ! Avoir envie d’autre chose que de ce dont on a besoin. Avoir envie de croquer la vie, de jouer, d’expérimenter par exemple.
Et quand nous, adultes, nous ne comprenons pas ce qui se passe chez notre bébé, et bien, il se peut que, lui non plus, ne comprenne bien pas ce qui se passe en lui finalement...

Comme quoi, la vie de bébé, c’est bien connu… c’est « tranquille et rien à penser » ;-) !

Rachel

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Derrière les pleurs, il y a parfois une  émotion confortable ! Très confortable même, comme dans l'histoire de Rachel

12/5/2015

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J'ai découvert la communication connectée par "hasard" sur facebook. J’ai acheté le livre et je me suis lancée avec le test musculaire. Lorsque notre bébé avait 5 mois ½, nous avons vécu une expérience particulière de Communication Connectée avec lui. Ce jour-là, après le repas, il montrait plusieurs signes de fatigue.

Après l’avoir changé, je suis allée dans notre chambre pour le coucher. Il se frottait les yeux en chignant. Je lui ai proposé le sein mais il n’en voulait pas. Il tirait en arrière comme pour s'allonger, un signe chez lui - depuis sa naissance - pour dire qu'il veut dormir.

Je le couche, lui fais un bisou et sors de la chambre comme d'habitude. Mais cette fois-ci il continue à râloter un bon moment. Je retourne alors dans la chambre mais en me voyant il se met à pleurer franchement et à s’agiter. Je le reprends dans mes bras, lui propose à nouveau de téter, je vérifie qu’il n’a pas un petit rot coincé. Mais non. Rien de tout ça. Il ne s’apaise pas et tire de nouveau en arrière vers le lit. Rebelote, je le couche à nouveau, lui parle, le reprends, le recouche plusieurs fois de suite. Il pleure toujours !

Je pense alors à tenter une communication connectée sans qu’il soit présent, juste derrière la porte. Pour voir s'il a quelque chose à dire, à comprendre, à demander ou un autre besoin encore.

On tombe sur « Besoin » : fatigué, besoin de dormir. Logique vu les signaux corporels. Puis « dire quelque chose ». Quoi ? Son « émotion », « de l'instant ». Je me détends pour laisser venir des propositions et là je tombe sur : « maman, merci de m'avoir couché dans mon lit » ! 

Je reformule pour être sûre mais c’est bien ça ! Je vérifie alors que tout va bien pour lui, qu'il est fatigué, qu’il se sent bien dans son lit et j'arrête la communication connectée. Les pleurs et chignements se sont arrêtés net et … il s’est endormi !

On aurait pu tourner en rond longtemps comme ça : lui chignant pour me dire qu'il était bien là où il était et me remerciant de l'y avoir mis ; et moi croyant qu'il y avait un souci puisqu'on associe généralement ‘pleurs’ (ou chignements) avec ‘problème’ !! 

Apparemment, le seul « problème » ici était simplement que notre bébé n’arrivait à faire entendre son contentement et sa gratitude. Des émotions agréables !


Je me rends compte qu'il y a probablement eu de nombreux quiproquos avec nos aînés lorsqu'ils étaient bébés sur l'interprétation de leurs pleurs et agitations, mais c'est comme ça ! Ils vont bien "quand même" :-) 

Rachel

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J’ai découvert la Communication Connectée pendant ma quatrième grossesse

11/5/2015

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J’avais d’abord fait l’expérience du test musculaire sur moi-même

Cette approche m’a parlé car j’ai toujours été « connectée », plus ou moins, avec mes enfants dès la naissance, étant sensible à leurs petits signaux corporels de communication. 
Lors de séances de soin pour moi, j’avais trouvé vraiment étonnant mais très parlant cette idée que le tonus musculaire était différent selon que l’on était en accord avec ce que l’on disait ou non, ce qui produit le « oui » ou le « non » du test musculaire.

Je me souviens en particulier du jour où mon amie m’avait fait dire « je suis une fille », puis « je suis un garçon », en poussant de façon identique à chaque fois. J’avais vraiment l’impression de résister à sa poussée avec la même intention dans les deux cas mais ma réponse musculaire avait été considérablement différente, contre ma volonté. « Je suis une fille », mon bras avait tenu en position malgré la poussée forte que mon amie exerçait pour l’abaisser.  « Je suis un garçon », mon bras était tombé, les muscles avaient lâché alors que mon intention de mouvement était la même qu’à la proposition précédente. 

Je ne sais pas comment ça marche, mais je vois bien le résultat !

J’ai donc ensuite essayé, grâce au test musculaire, la Communication Connectée avec notre bébé lorsque j’étais enceinte. Je ne peux toujours pas expliquer comment cela fonctionne, même si j’ai quelques idées. Je ne peux toujours pas être sûre que ce qui se « dit » à travers ce moyen est bien réellement ce que pense et voudrait dire l’enfant, encore moins pendant la grossesse. Mais ce que je peux dire, c’est qu’il y a toujours eu un effet corporel « visible » lors des expériences de « CoCo » que nous avons faites, avec un certain apaisement notable.

Pendant la grossesse, notre bébé bougeait beaucoup, avait souvent le hoquet et ses mouvements étaient parfois saccadés et franchement désagréables pour moi, ce qui n’avait pas été le cas lors de mes précédentes grossesses. J’ai fait trois CoCo pendant la grossesse et à chaque fois, les mouvements du bébé ont changé de nature juste après la déconnexion et l’assurance que tout était OK pour lui. Soit les mouvements s’arrêtaient, le bébé s’apaisait, soit ils devenaient plus doux, agréables et confortables, avec une sensation d’apaisement pour moi aussi.

Depuis qu’il est né et a grandi, je note toujours des mouvements corporels à la fin des CoCo, mais souvent aussi pendant. Parfois l’agitation ou les pleurs redoublent lorsqu’on « discute » comme ça, comme avec nos enfants plus grands lors de communications verbales plus classiques, comme si le fait d’être écouté permettait aux émotions de s’exprimer plus clairement et bruyamment parfois. Mais très souvent, à la fin d’une CoCo, notre bébé s’apaise.

Avec la CoCo, j’ai développé mes perceptions et j’ai découvert l’univers de notre bébé…

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La pratique de la Communication Connectée a affiné encore plus ma perception des signaux corporels, verbaux, non verbaux. Une sorte d’intuition « 6e sens » s’est développé entre notre bébé et moi, et entre notre bébé et son papa aussi même si celui-ci ne pratique pas la CoCo. 

J’ai remarqué aussi, lors des CoCo, que certains sujets ou notions de notre vie courante étaient inconnus pour notre bébé. Le temps par exemple. En particulier pendant la grossesse. Alors que j’avais des contractions, je lui avais expliqué qu’il serait plus prudent qu’il attende encore avant de naître, qu’il avait le temps, car on était trop tôt dans la grossesse. Il m’avait dit qu’il ne comprenait pas le mot « temps ». Et là, je m’étais retrouvée bien bête à ne pas trop savoir comment le lui expliquer ! 

C’est pareil, certaines de nos évidences ne le sont pas pour lui. Lorsque je lui avais demandé qui il voulait avoir de présent à sa naissance, il avait commencé par me citer moi :-). C’était très émouvant d’ailleurs car si, pour moi, il était évident que moi enceinte je serais là à mon accouchement et à sa naissance, pour lui avec ses perceptions et son mode de pensée de fœtus ce n’était pas évident. C’était donc un vrai choix de me demander d’être là !

Notre bébé reste un bébé - pour l’instant ;-) - mais nous le considérons encore plus avec ses capacités de réflexion et de pensée propres et internes, qui peuvent être très élaborées même s’il ne peut les exprimer seul tant que son corps ne sera pas suffisamment mature pour produire des sons. 

C’est un outil précieux. Merci !

Rachel

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"On passerait à côté d’un trésor si on n’avait pas la Communication Connectée !" se disent souvent Vincent et Véronique

15/4/2015

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Nous nous sommes connus sur le tard, mon épouse et moi, nous avons tous les deux plus de 40 ans. L’arrivée de notre fils Augustin a été préparée avec Charlotte W. - notre haptonome - et après la naissance, nous avons souhaité garder le contact avec elle. 

La voir nous faisait du bien et c'est via son site web que nous avons eu connaissance de la Communication Connectée. Augustin avait alors environ 2 mois et nous avons demandé à Charlotte de nous apprendre comment utiliser cette technique.

Au fil du temps, la « CoCo » - comme nous l’appelons - est devenue un véritable moyen de dialogue avec Augustin. Nous la pratiquons quasi quotidiennement. C’est souvent bref. Toujours dans le respect des règles : demander l’autorisation d’Augustin, accepter les non-réponses si Augustin ne souhaite pas répondre à une question, etc.

Ce que nous trouvons formidable, c’est qu’elle est utile dans toutes sortes de situations : bien sûr en cas de pleurs, mais également pour lui permettre de s’exprimer sur son vécu de la journée à la crèche, s’assurer que tout va bien après un événement inattendu, ou tout simplement pour informer Augustin de ce qui va se passer. Ce que nous n’imaginions pas avant de nous lancer, c’est la richesse et la maturité de la vie intérieure d’Augustin, qui sait très bien ce qui lui convient.

Nous sommes croyants et la CoCo nous permet d’échanger avec Augustin sur sa vie spirituelle, comme avec un adulte ; sa clairvoyance et sagesse nous dépassent parfois. Il nous pousse par exemple à aller vers les autres, en particulier ceux avec qui la communication est difficile dans la famille, toute chose qu’un enfant, même tout petit, ressent déjà.

Augustin a aujourd’hui 18 mois et depuis quelques temps déjà, les baguettes sont posées sur la table du déjeuner de manière à ce qu'il puisse les prendre et les donner à papa ou maman pour signaler qu’il veut parler de quelque chose. Ou bien parfois, il dit tout simplement « coco », à l'oral, de lui-même... 

Nous sommes très à l’aise, l’un et l’autre, d'employer les baguettes pour communiquer. On essaie de faire les « CoCo » autant que possible à trois avec Augustin, mais parfois il y a urgence et elle se pratique alors à 2, avec l’un de nous deux, soit papa, soit maman. Et nous communiquons après entre nous sur ce qui a été échangé. Cela suppose bien entendu que nous nous fassions confiance.

Notre vie de famille avec la CoCo est tellement fluide qu’on s’en émerveille encore à chaque fois. On se dit que les parents qui ne la connaissent pas passent à côté d’un trésor !

Vincent et Véronique,
Belgique

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La Communication Connectée m'aide à mieux comprendre mes filles et me permet de mieux les accompagner...

3/4/2015

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J’ai démarré la Communication Connectée quand mes filles avaient 2 et 5 ans… La parole était donc notre outil de communication (et l’est restée bien sûr), mais parfois je me suis sentie bloquée. Alors quand je ne parvenais pas à comprendre mes filles, j’utilisais la CoCo pour mieux saisir ce qui les animait et pour les accompagner… Voici 3 petites brèves issues de notre quotidien.

Sortir des interprétations et découvrir le vrai message de son enfant...

Une de nos premières CoCo qui m’a profondément marquée, c'était avec Janis, qui avait alors 5 ans. Elle avait des bouchons d’oreille très régulièrement. Etant à cette époque-là en pleine séparation avec le papa, j’étais convaincue qu’elle ne voulait pas entendre et se créer inconsciemment ses bouchons. Interprétation rapide…et loin du compte ! En réalité, ma grande m’a emmenée sur la piste alimentaire : c'était la consommation de lait de vache qui lui posait problème.

J’ai creusé avec elle comment ne plus avoir ce souci : nous avons supprimé les biberons puis les yaourts, et aussi diminué le fromage. 

Les bouchons ont cessé dans les jours qui ont suivi… C’était tellement magique que je ne voulais pas y croire ! Plus d’un an après, elle n’en a toujours pas refait.

Que l'univers de nos enfants est riche !

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Autre anecdote... Pendant quelques temps, Soledad (ma seconde fille) s’était mise à grincer des dents. À tous moments de la journée... Et cela m’agaçait énormément. Cela a finit par m’inquiéter aussi… Je me suis alors décidée à faire une CoCo avec ma fille.

Et j’ai étais très surprise de l’absence de lien logique  - pour moi - entre son comportement et ce qu’elle m’a dit.

Pour résumé, elle avait des interrogations par rapport à l’eczéma de sa sœur. Elle souhaitait également que sa sœur lui en parle, lui raconte ce qu’elle ressentait et pour finir elle voulait que je délivre un message à son papa.

Si elle ne me l'avait pas "dit" à travers cette communication connectée, je n’aurais jamais pu deviner tout ça ! Dès le lendemain, beaucoup moins de grincements. Et 3 jours après plus du tout ! Magique, vous dites ? :-)


Papa, c'est mon Papa... quoique vous viviez ensemble !

Et puis hier… Soledad, 3 ans, est malade. Elle doit se moucher, avoir le nez nettoyé, avoir un bain d’oreille. C’est la croix et la bannière pour lui faire ces soins. Je ne reconnais plus ma fille, ni notre relation… Je me sens triste et désarmée face à ce changement de comportement soudain, alors j’attrape mes baguettes.

Au fil de la CoCo, Soledad m’exprime ceci : elle a besoin que j’informe son papa qu'elle est malade en ce moment, et plus globalement elle aimerait que je communique davantage avec son papa sur ce qu’elle vit…

Peu importe ce que je vis avec lui, ma fille me rappelle qu’il est surtout son papa quoi qu’il se passe, et que je peux moi faire des pas vers lui en lui parlant du quotidien de nos enfants…

Merci ma fille !

Camille S.
France
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La bienveillance d'une soeur envers son frère...

2/4/2015

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À l'instant : Marceau, 5ans ½,  est sur le canapé, fiévreux. Céleste, sa soeur de 3 ans, saute partout autour de lui. 

Après lui avoir demandé plusieurs fois de le laisser au calme, j'entame une Communication Connectée avec Céleste. 

En résumé : "Je veux que Marceau me parle de ses symptômes, je suis inquiète". 

Puis : "Je veux lui dire que je lui envoie mon amour pour qu'il guérisse vite". 

Et enfin : "Je veux lui dire que je suis confiante et qu'il sera guéri pour dimanche car nous sommes inviter à manger chez des amis". 

Voilà, c'était il y a 15 minutes... Et depuis, elle joue tranquillement de son côté ;-)

Fanny S.
France

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Après sa première chute en poney, ma fille se sentait mal... J'ai tenté une Communication Connectée pour l'aider à dépasser l'évènement.

27/3/2015

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Jade, ma fille de 6 ans, a fait une chute de poney il y a quelques mois. La prof, qui était embêtée par cet accident, m'a donné beaucoup d’informations sur l’état de santé de ma fille, mais finalement très peu sur la façon dont les choses s'étaient passées.

En rentrant, plus la soirée passait et moins je sentais ma fille. J'avais l'impression qu’elle se braquait. Ni elle ni moi n’avions imaginé qu’elle puisse tomber, aucune de nous n’avait anticipé ce genre d'accident. Elle était mal mais elle ne savait pas en parler, c’était évident. Alors je lui ai proposé une communication connectée.

Et ça a été génial ! La "CoCo" lui a permis de clarifier ses idées, de mettre des mots sur ses émotions, de lâcher de grosses larmes et surtout de découvrir un univers que nous n’imaginions même pas : l’univers du poney. 

En effet, au fil de la CoCo, nous nous sommes préoccupées du poney - surnommé Vanille - et nous avons discuté avec lui. Vanille nous a expliqué ceci : juste avant l'accident, il avait eu peur d’une tache noire, qu’il n’avait pas su reconnaitre dans un premier temps (c'était un oiseau). Il était alors très inquiet pour sa cavalière (ma fille) car c’était la première fois qu’il faisait tomber quelqu’un. Il était triste lui aussi, il s’en voulait... au point qu'il ne souhaitait plus avoir quelqu’un sur son dos de peur que cela ne se reproduise ! Bref, lui aussi s’était braqué...

Donner la parole au poney a permis à Jade d’avoir un autre regard sur la situation, de mieux la comprendre, de dépasser ses peurs, et de rassurer Vanille... qui, depuis, va bien et prend encore plus soin de ses cavaliers.

Quant à Jade, elle a rapidement retrouvé sa confiance et continue à s’éclater à ses cours de poney ! 

Isabelle M.
Gorges, France


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Pour moi, la Communication Connectée, c'est comme quand on allume la lumière et qu’enfin on y voit plus clair ! Par Émilie

26/3/2015

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J’imagine la frustration pour ces petits êtres de NE pas pouvoir exprimer leurs émotions et pensées...

J'ai envie de vous partager mon expérience avec la Communication Connectée car ça a été comme une révélation pour moi. Quand j'ai découvert cette approche, mon bébé avait 1 an et j'ai commencé à m'en servir vers ses 18 mois. 
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Depuis que j’ai appris que je portais ce petit bout dans mon ventre, j’ai commencé à lui parler et je sentais sa présence à l’intérieur de moi, mais aussi autour de nous. J’ai d’ailleurs senti son arrivée dans notre famille avant qu’il vienne dans mon ventre. Je pense que, d’une certaine façon, je communiquais avec sa sagesse ou son âme depuis le début. 

Quand il est né, j’ai continué durant un certain temps à lui parler dans ma tête. Je lui parlais très peu à haute voix avant de réaliser et qu’on me fasse la réflexion que je devais lui parler à voix haute aussi. Lors de la période des pleurs du soir, je me suis sentie complétement déboussolée. Je ne pouvais pas le calmer, rien ni personne ne pouvait l’apaiser, il pleurait longtemps et je savais qu’il avait besoin d’exprimer quelque chose que je n’arrivais pas à traduire. 

Ensuite on a eu des problèmes avec l’allaitement, il s’est mis à refuser le sein. J’ai du compléter avec du lait artificiel et il a fini par faire une confusion et totalement refuser le sein. Je l’ai très mal vécu et je savais que s'il faisait ça, c’était pour exprimer quelque chose. Pour moi, il était trop petit pour ne plus avoir besoin de mon lait et préférer du lait artificiel ou mon lait au biberon. On a découvert trop tard qu’il avait un gros reflux interne ce qui a énormément compliqué l’allaitement car il souffrait beaucoup, notamment en position allongée. Et depuis le départ, j’allaitais principalement en position allongée alors que je lui donnais le biberon en position semi-assise. Cette position le faisait moins souffrir et lui évitait les remontées acides mais ça, je l’ai compris plus tard. 

Durant tous ces moments difficiles mais aussi les jolis moments, je savais que je passais à côté de quelque chose dans la façon de communiquer avec lui. Et puis j’ai découvert la CoCo et ça a été la révélation. Comme quand on allume la lumière et qu’enfin on y voit plus clair. C’est vraiment devenu une évidence. Je me disais depuis sa naissance qu’il devait bien exister un moyen de communiquer avec un enfant préverbal, d'obtenir des réponses concernant ses besoins vitaux quand on ne sait plus pourquoi l’enfant pleure (et pas seulement à ce moment-là). J’imaginais cette frustration pour ces petits êtres de ne pas pouvoir exprimer leurs émotions et leurs pensées. Il suffisait de regarder ses yeux pour comprendre déjà toute l’ampleur de ses ressentis.


J'ai lu le livre. puis j'ai suivi une formation en Suisse...

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Après avoir lu "J'ai tant de choses à dire", j’avais un peu peur et je manquais de confiance en moi pour me lancer toute seule dans cet apprentissage. J’en avais tellement besoin que j’avais besoin d’être certaine de faire juste. D’ailleurs pour moi, il était évident que j’allais utiliser le test musculaire, il me semblait que les baguettes, c’était pour ceux qui ont besoin "de voir pour croire". 

Quand j’ai découvert qu’une formation se donnait en Suisse à côté de chez moi, c’était juste parfait. Je n’ai pas hésité à m’inscrire et vraiment j’en suis super heureuse. C’est le genre de choix qui change notre vie. 

Virginie Borgeaud transmet cette méthode avec beaucoup d’enthousiasme et de bienveillance, toujours dans l’écoute et le respect des croyances de chacun. Après le premier jour de cours, la CoCo a pris une place à part entière dans ma vie. Dès mon arrivée à la maison, j’ai pris mes baguettes pour communiquer avec mon fils et depuis je communique tous les soirs avec lui mais aussi durant la journée lorsqu’on en ressent le besoin. 

Finalement, les baguettes ont tellement bien fonctionné que je les ai tout de suite adoptées. Je pensais me mettre au test musculaire plus tard mais même après avoir suivi un cours sur le test musculaire, je continue de rester fidèle à mes baguettes. C’est juste un peu moins pratique quand je voyage ou lorsque je suis à l’extérieur. 


Nos routines à nous, avec la CoCo

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Je communique généralement après le rituel du coucher, quand je sors de la chambre de notre enfant. Je vais me mettre à côté pour lui demander s'il souhaite dire ou entendre quelque chose. Je lui demande aussi s'il a un autre besoin. Parfois je lui demande s'il est d’accord de revenir sur un événement de la journée, positif ou négatif. Il en ressort beaucoup d’émotions, souvent positives, je le sens très apaisé par le fait qu’il puisse s’exprimer et être entendu. 

Je suis moi aussi beaucoup plus sereine car je n’ai jamais supporté de le laisser pleurer et de temps en temps, le soir il avait besoin de s’exprimer de cette façon, ce qui était très problématique pour moi car le coucher devenait alors compliqué. J’avais ce sentiment de l’abandonner si je le laissais pleurer même en restant à ses côtés. Grâce à la CoCo, les pleurs cessent dès que je commence à lui parler parce qu’il se sent entendu ou alors le fait d’exprimer son émotion lui permet de s’apaiser. Mais parfois, il me dit aussi qu’il a besoin de pleurer un peu et qu’il n'a pas forcément besoin que je reste auprès de lui. Ca reste compliqué pour moi mais au moins je ne culpabilise plus et dans ces cas-là, les pleurs ne durent pas longtemps. 

Pour moi, c’est super apaisant de pouvoir l’écouter et de l’accompagner comme il en a besoin. Parfois, je remarque aussi que le simple fait de me communiquer qu’il a mal quelque part l’apaise aussi rapidement. 


Enceinte « avant l'heure » ? 

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Il y a quelques mois, j’ai senti à nouveau une présence autour de moi, suivie d’un besoin viscéral de retomber enceinte. C’était début octobre, j’ai senti cette présence si fort que j’ai pensé être enceinte fin octobre. J’ai posé la question avec les baguettes et la réponse était "oui". Pourtant ce mois-là, je n’étais pas physiquement enceinte. Je me suis posée beaucoup de questions et j’ai eu des doutes sur ma capacité à utiliser les baguettes. Et oui, je continue toujours de douter de moi par moment. Je n’avais pourtant jusque là jamais rencontré de difficulté. J’avais même obtenu un code de "oui" et de "non" pour le bébé et j’avais commencé à communiquer avec lui. Au départ, un peu timidement parce que je n’étais pas très sûre de moi, et puis de plus en plus concrètement après. Le bébé ou l’âme qui allait s’incarner m’a bien confirmé sa présence, son désir de venir dans notre famille et dans mon ventre. Que j’étais prête pour ça et elle aussi. 

Finalement, début décembre j’ai appris ma grossesse ! C’était comme si ma sagesse me considérait enceinte déjà avant que je le sois physiquement. Je ne m’étais donc pas trompée et mes ressentis étaient justes. Je suis vraiment très heureuse de ce futur bébé qui va agrandir notre famille mais surtout je suis heureuse d’avoir ce moyen de communication avec lui. 

Durant ma première grossesse, je communiquais déjà beaucoup mais je n’avais pas la chance d’avoir des réponses si clairement et si facilement. Pour moi, c’est vraiment merveilleux de pouvoir accueillir cette enfant déjà dans l’écoute et pouvoir l’entendre si vite. 

Je me demande juste comment j’ai fait avant, durant ces mois sans CoCo. 
C’est un outil tellement extraordinaire et simple à la fois...

Émilie Jaquet, 
Suisse


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La communication connectée et le deuil d'un bébé, l'histoire de Jeanne

25/2/2015

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Des malformations importantes sont détectées in-utéro chez notre bébé. Je suis en quête de sens...

J’ai fait ma première expérience de la Communication Connectée pendant ma dernière grossesse. Celle-ci se passait à l’été 2013. J’avais 40 ans et étais enceinte de ma 4ème fille. 

Juin 2013. J'étais enceinte de 5,5 mois. À l’échographie morphologique, une mesure dans le cerveau du bébé s’est avérée un peu limite, pas pathologique encore mais nous nous sommes inquiétés. La gynécologue n’a pas été plus loin ce jour-là, elle nous a simplement recommandé une échographie supplémentaire un mois plus tard, à 6,5 mois. Mi-juillet, nous nous sommes rendu au rendez-vous et cette échographie-là, confirmée par une IRM, a révélé une aggravation des mesures prises un mois plus tôt, des malformations apparaissaient clairement dans le cerveau de notre petite. 

A ce moment-là, je me suis fort inquiétée pour notre bébé. En effet, cette grossesse faisait suite à une interruption médicale de grossesse (IMG) qui avait eu lieu l’été précédent, en 2012, suite à la découverte de la trisomie 21 chez ce bébé-là, c’était aussi une petite fille. J’avais peur de devoir à nouveau interrompre la grossesse. Alors, j’en ai parlé autour de moi, j’ai demandé de l’aide, j’étais en quête de sens. Une amie m’a conseillée de faire de la Communication Connectée (CoCo) pour rentrer en contact avec le bébé.     
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Nous avons eu alors cette fabuleuse CoCo...

À travers cette première CoCo, j’ai eu l’occasion de me connecter à ce bébé que nous avons prénommée Elie. Vu le contexte intense de ma grossesse, je n’avais pas l’énergie, à ce moment-là, d’apprendre la technique. Hélène a guidé la communication. 

Au début de la rencontre, Hélène m’a demandé si j’avais des questions à poser à notre petite. Assez naïvement, j’ai dit : « j’aimerais savoir si elle va bien ». Et finalement, ce n’est pas du tout le sujet qui est « sorti ». Hélène tenait ses baguettes en main et posait des questions fermées à Elie, les baguettes s’orientaient en fonction des réponses « oui » ou « non » d’Elie. La conversation cheminait ainsi, pendant presque 2 heures ! J’ai pu approcher sa personne, elle avait des choses à nous dire.

Plusieurs thèmes ont été abordés. Elie a d’abord voulu parler de « ce qui mettait son âme en joie », comme par exemple notre maison lorsque la famille y était réunie, ou l’école de mes grandes filles. Ou encore le contact avec la famille d’un de mes cousins, qui a lui-même perdu un de ses enfants à l’âge de 1 an ½. Elie m'a dit aussi qu’elle aimait ces moments où je me centrais au profond de moi-même dans une paix intérieure. Elle se sentait « en joie » dans ces contextes-là, en particulier. 

Elle a ensuite évoqué une de ses forces : la persévérance. Cette force ne s’adressait pas a elle directement, ce n’était pas elle qui devait persévérer dans quelque chose, c’était plutôt de l’ordre de « permettre à d’autres d’aller au bout de quelque chose ».

A la fin de cette première CoCo, Hélène a demandé à Elie si elle avait autre chose à rajouter avant qu’on se quitte et notre fille a répondu « oui » ! Elle voulait rajouter qu’elle se « ressentait », qu’elle se « percevait elle-même » désormais. Ca m’a profondément touchée. Parce que je me suis rendue compte que cette communication m’avait non seulement permise de me connecter à elle, de me connecter à moi mais lui avait permis, à elle aussi, de se connecter à elle-même. Ca m’a profondément bouleversée. J’étais émue et éblouie d’apprendre tout ce que ce bébé, en formation dans mon ventre, avait à me dire. C’était un concept hallucinant pour moi car, jamais auparavant, je n’avais communiqué avec mes bébés de cette façon-là.

Après cette CoCo, je me suis sentie soulagée, pleine d’émotions et d’amour pour ce bébé. Je m’étais rapprochée d’elle et je pouvais mettre du sens sur son passage, aussi court soit-il, dans ma vie. J’ai pu alors accepter que son trajet de vie ne serait peut-être que ces quelques mois dans mon ventre. J’ai eu le sentiment de quelque chose d’accompli, je pouvais lui dire au revoir.

J’ai entamé le travail de deuil en communiquant avec Élie

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Dans les jours qui ont suivi, les nouvelles médicales ont été assez sombres, terriblement sombres, même. Le handicap était total. Mon compagnon et moi avons dès lors posé le choix de l’IMG. Nous avons fait une seconde CoCo, pendant laquelle j’ai vraiment pu dire au revoir à Élie. Je me suis sentie à nouveau très liée à elle. Je pense que j’ai entamé le travail de deuil en communiquant avec Élie. 

Nous avons donc fait le choix de l’IMG, j’étais à 7 mois de grossesse, c’était un vrai accouchement. J’ai vécu ce moment comme extrêmement brutal, mais j’ai fait le choix de le vivre en pleine conscience, riche de cette expérience avec ma fille et très bien accompagnée par ma sage-femme et soutenue par mon compagnon. Petit clin d’œil au passage, elle est née avec le pouce en bouche ! J’ai vu là un tel apaisement dans sa posture que j’ai été rassurée sur le choix que nous avions posé. J’ai retrouvé la même sérénité que lors des CoCo.

Après sa naissance et son enterrement, j’ai consacré tout mon temps à travailler sur moi, en profondeur, sur mes fondements, à la quête de mes ressources, pour traverser cette épreuve et me sentir vivre. Je me suis peut-être appropriée la force qu’Élie a évoquée lors de la première CoCo, cette persévérance. Car, tout en cheminant vers moi-même, je me suis donné la possibilité de changer de vie totalement, de donner naissance à un vieux rêve et de changer d’orientation professionnelle.


La vie est plus forte que tout

Aujourd’hui, indéniablement, je n’ai plus de tristesse car j’ai pu donner du sens à sa courte vie parmi nous. Il y a aussi de la joie qui peut jaillir de l’horreur. J’ai le sentiment aujourd’hui d’être beaucoup plus ancrée, plus axée. C’est comme si j’avais une lame de fond paisible, pleine de confiance désormais. La confiance que quand il arrive une chose terrible, c’est aussi l’occasion d’avancer. La vie, sous quelque forme que ce soit, est plus forte que tout. Elie est présente en moi, je me sens animée d’une vie foisonnante, c’est très fort. Je la remercie d’être dans ma vie.

Tout récemment, je suis allée manger chez Florence, une très bonne amie, et pendant le dîner j’ai découvert qu’elle venait de suivre la formation à la Communication Connectée. Elle m’a alors montré ses baguettes et comment les utiliser. Et puis elle a ajouté : « prends-les, essaie ». 

Mon « non » et mon « oui » sont arrivés tout de suite. Spontanément, ma première question s’est adressée à Élie, je lui ai demandé :
- Es tu là ?
- « Oui ». Les baguettes se sont orientées immédiatement.
- Est-ce que tu veux qu’on échange un peu ?
- « Oui » ! 
- Est-ce que tu as quelque chose à me dire, à moi ta maman ?
- « Oui ».
- Est-ce que c’est de l’ordre de ‘tu te sens proche de moi’ ? 
- « Oui » ! Là j’ai eu envie de lui dire un grand JE T’AIME !!! 
- Est-ce que tu sens que je me suis engagée dans une voie qui est juste pour moi ? 
- « Oui » ! Là, j’ai pensé MERCI d’être passée dans ma vie.
- Est-ce que j’aurai à nouveau l’occasion de te recroiser ?
- « Non ». J’ai été heureuse de cette réponse parce que j’ai vraiment pris la mesure du sens que je peux donner à sa courte présence physique parmi nous, je la sens très présente à l’intérieur de moi.

Voilà relatées mes expériences de Communication Connectée avec ma petite dernière. 
J’en garde un souvenir très fort.

Jeanne
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ÉPISODE #3/3 : La communication connectée au-delà des bébés...

20/11/2014

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Notre fille aînée a appris à écouter son frère dans le silence... 

Récemment, nous sommes partis en vacances. Le rythme s’est trouvé quelque peu interrompu. Nous étions chez mon frère, il y avait du monde constamment, je ne donnais pas forcément le biberon. Un soir, j’ai dit à Noah, la sœur ainée d'Aloïs, que je m’isolerais bien pour faire une communication connectée avec son frère car cela faisait deux jours que nous n’avions pas échangé. 

Et là, elle me dit : « Deux jours ? C'est pas grave, maman ! ». À cela, j’ai répondu : « Non, ce n’est pas grave, en effet. Mais c’est comme si, pendant deux jours, je ne te demandais pas du tout comment tu allais, si tu avais bien dormi, ou pourquoi tu semblais triste… ». 

Son visage a changé et elle a vraiment compris l’importance de la Communication Connectée à ce moment-là. Il est fréquent d’ailleurs que les communications se fassent en présence de Noah à qui j’ai appris à respecter le silence, car c’est le moment de son frère. Il arrive même qu'en fin d’échange, elle pose des questions à son frère, qu'elle fasse des réflexions pertinentes et qu'elle ait des réponses !

J'ai accompagné ma grand-mère, jusqu'à la fin de sa vie, dans l'amour et le respect...

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Et puis, au courant de l’été, alors que cette pratique était bien rodée à la maison, ma grand-mère a fait un accident vasculaire cérébral (AVC). Paralysée du côté lié à la parole, elle essayait tant bien que mal de se faire comprendre, mais elle n’y parvenait pas. 

Il m’est rapidement venu l’idée de tenter l’expérience avec elle. Je lui ai, dans un premier temps, expliqué la méthode. Je lui ai dit que je la pratiquais avec son arrière-petit-fils. Elle a accepté et j’ai pu l’accompagner pendant plusieurs semaines, jusqu’à la fin de sa vie en écoutant ses demandes, afin d’éviter ses souffrances, répondre à ses attentes et lui exprimer tout l’amour que j’éprouvais pour elle.

Encore un énorme merci pour cette merveilleuse méthode...

Sophie Neel
Hypnologue
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ÉPISODE #2/3 : Notre fils se sent entendu et écouté... Il s'épanouit !

19/11/2014

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« J'aimerais tellement, maman, prendre mon bain dans une bagnoire de 'grand' ! »

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Sophie nous disait hier qu'elle aimait bien faire les communications connectées avec son petit Aloïs (15 mois) au moment de la pause biberon. Car c'est un moment tout calme et tendre, propice à la conversation... 

Aujourd'hui, elle nous raconte comment les difficultés liées au bain se sont résolues. Contexte : le bain - qui était auparavant un moment de plaisir - s'est transformé depuis quelques temps en pleurs perpétuels. Au point que Sophie et son conjoint ont parfois envie d'abréger le bain, voire de le reporter. Alors Sophie se lance et voici ce qui ressort de la communication connectée avec son Loulou... 

Sophie : Es-tu d’accord pour que nous résolvions ce problème du bain ?
Aloïs : Oui
S : Le moment du bain est peut-être mal approprié. Peut-être préfèrerais-tu après manger le soir ?
A : Non
S : Est-ce dû à la température de l’eau ?
A : Non
S : Est-ce qu’il y a des solutions possibles pour remédier à ce problème ?
A : Oui
S : Est-ce que c’est la petite baignoire en plastique dans laquelle on te baigne qui pose problème ?
A : Oui
S : Est-ce que si nous te baignions dans la grande baignoire, tout irait bien ?
A : Oui
S : Est-ce que tu as besoin d’autre chose pour régler ce problème ? (Je pose systématiquement cette question en fin d’échange, même si la solution semble avoir été trouvée).
A : Non

Je suis évidemment impatiente de mettre en pratique cet échange. Dès le soir-même, je supprime la petite baignoire en plastique « de bébé » et prépare le bain d'Aloïs dans la baignoire « de grand ». Tout se déroule à merveille ! Ce soir là, comme les suivants.

Ce premier vrai résultat m’enchante et pour autant, j’ai tendance à le mettre sur le compte du hasard (même si je ne crois pas beaucoup en ce mot-là). C'était peut-être juste de la chance…  Encore sceptique mais totalement désireuse de continuer !


On a trouvé des solutions simples, naturelles et tellement profitables pour de nombreux sujets !

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Une autre problématique que nous rencontrons régulièrement est le fait qu’Aloïs pleure lorsque nous prenons notre petit-déjeuner. La communication connectée nous permet d’apprendre qu’il souhaite juste un câlin avant d'aller jouer dans son espace de jeu. Les pleurs cessent, nous déjeunons désormais dans le calme.

Il en est de même pour les pleurs lorsque nous voulions coucher Aloïs chez des amis. Pareil pour le matin chez la nourrice, ou encore après mes congés, etc. De nombreux autres sujets ont trouvé des solutions, simples, naturelles et tellement profitables.

Cette méthode fait désormais partie de notre quotidien. Elle nous permet de voir notre fils s’épanouir de plus en plus, être heureux et confiant car il sait qu’il est entendu et écouté.

Demain, je vous raconterai ce que la Communication Connectée a changé dans les interactions entre Aloïs et sa soeur. Et aussi avec ma propre grand-mère...

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Épisode #1/3 : Sophie découvre la Communication Connectée via « La télé de Lilou »...

18/11/2014

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On ne peut pas refaire le passé... 
mais on peut modifier le présent et l’avenir !

Sophie est la maman de deux enfants : Noah, qui a 8 ans, et Aloïs, 15 mois. Elle entend parler de la Communication Connectée, pour la toute première fois, dans un groupe sur Facebook centré sur le thème de l'hypnose et des enfants. Quelqu'un y avait posté un message et c'est là qu'elle découvre une vidéo de « La TV de Lilou » sur la Communication Connectée. On vous laisse découvrir la suite de son aventure...

Il est environ 22h ce soir-là, lorsque je me vais me coucher et que je propose à Nicolas, mon conjoint, de regarder ensemble cette vidéo. Nous restons assez « scotchés » et échangeons juste quelques regards. Tout paraît logique, clair, nous sommes d’accord sur tout. C’est génial ! Pourquoi n’y avions-nous pas pensé avant ?! Et pourtant, lorsque la vidéo prend fin, je sens une grande culpabilité monter en moi. Je sais également que je ne porterai plus jamais le même regard sur mon enfant.
Pourquoi de la culpabilité ? Pour tous ces moments pendant lesquels je m’énerve sur lui, car il pleure, alors qu’il n’y a pas de raison apparente, il a mangé, il est propre. 

Peut-être qu’à ce moment, nous sommes un peu plus fatigués, nous ne comprenons pas la raison de ses pleurs qui semblent être « un caprice ».
En tout cas, la découverte de cette merveilleuse pratique qu’est la Communication Connectée est une énorme chance pour notre fils et pour nous. « Mieux vaut tard que jamais ! ». J’aurais aimé la connaître plus vite, 8 ans plus tôt même, pour ma fille. On ne peut pas refaire le passé, mais on peut modifier le présent et l’avenir !

LA vidéo était bien...
mais avec le livre, c'est quand même plus facile !

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Aloïs pleure souvent. Lorsqu’on le change, au moment  du coucher, au bain… Rapidement, je me dis que c’est l’occasion de mettre en pratique cette nouvelle technique. Je dois l’avouer, ça m'impressionne les premiers temps. Ca paraît simple lorsqu’on entend Hélène et Frédéric - son mari - en parler, mais c’est comme sur les foires quand on vous vend le produit miracle... qui ne l’est plus, une fois rentré à la maison ! Je voulais tout de même l’essayer… Pourtant à ce stade, j'avais juste regardé la vidéo de Lilou et survolé le site internet.

« Premiers pleurs, et c’est parti ! On y va ! Ca a l’air simple, alors, dans moins de deux minutes, il doit avoir cessé de pleurer ! » me dis-je. Je m’installe avec lui dans sa chambre (pendant ses pleurs). Il est tendu, moi aussi. J’ai du mal à me centrer comme c’est indiqué dans la méthode. J’essaie à plusieurs reprises (toujours pendant ses pleurs) mais en vain. Pas de résultat. Ca me semble tout à coup plus compliqué que ça en avait l’air. Mais je ne veux pas pour autant en rester là. Car le témoignage auquel je crois beaucoup m’a touchée et ses initiateurs m’inspirent confiance. 

Je suis d’accord sur le fait qu’Aloïs comprend tout ce qu’on peut lui dire. Je l’ai déjà expérimenté en lui demandant de m’apporter tel ou tel jouet par exemple. « Va chercher ton doudou dans ton lit » et il revient avec. Et ce depuis bien longtemps… Je sais pertinemment qu’Aloïs comprend tout à fait ce qu’on lui dit, je ne peux donc pas en rester là maintenant que j’ai un moyen d’échanger avec lui ! Ce n’est pas possible. Pour moi, c’est comme si on avait découvert un traitement miracle naturel et que je ne le donnais pas à mon enfant alors que j’en connaissais les bienfaits.

Quelques jours passent, voire quelques semaines et les pleurs continuent. Je mets la méthode entre parenthèses, car je n’ai pas eu de résultats imminents. 
Du coup, une sorte de déception passagère décourageante s’installe.

Et puis, un jour, je décide d’acheter le livre. Ce dernier me redonne le courage dont j’avais besoin. La méthode m’apparaît de plus en plus évidente. 

Ma première résolution est de laisser les pleurs au moment où ils se produisent. Accepter qu'ils aient lieu et faire en sorte d’y remédier plus tard, à un moment plus propice. Même si l’idée d’avoir la solution à l’instant T me réjouissait, je prends conscience que cette façon d’agir m’éloignait de la Communication Connectée, ce que je ne voulais pour rien au monde, car je croyais fortement en cette méthode.


Après quelques essais, on était sur notre lancée !

Je réfléchis alors au moment de la journée qui me semble être le plus adapté, le plus calme pour nous poser tous les deux et communiquer. Mais à cet âge, les enfants découvrent l’indépendance, la mobilité, le jeu... Il est hors de question pour Aloïs de se poser plus de 30 secondes à mes côtés ! Alors comment faire ? Et quand surtout, j’ai tellement de choses à faire dans la journée ! Une raison (ou excuse) supplémentaire pour laisser ça de côté…. Hors de Question !

Comme c’est clairement indiqué dans le premier livre, lorsque le frère ainé a un problème et qu’il souhaite en parler, on ne laisse pas tomber sous prétexte qu’on n’a pas le temps, qu’on ne trouve pas les mots,… On l’écoute et on cherche des solutions ! Donc maintenant que j’ai la technique, je n’ai plus aucune excuse possible !

Après plusieurs réflexions, je me rends compte que le seul vrai moment calme que nous partageons, mon fils et moi, est la pause biberon. Ca sera parfait !

Très vite ça devient évident, logique, simple. Ce qui était loin d’être le cas après le premier essai, mais il fallait juste persévérer un peu ! N’accrochant pas trop avec le test musculaire ni les baguettes de sourcier, je décide d’utiliser le « signaling » que j’utilise lorsque je pratique l’auto-hypnose. Il s’agit d’un signe physique indiquant le « oui » et un autre le « non ». Je demande à Aloïs si cela lui convient aussi et j’ai la chance d’obtenir un... « oui » !

Je mets donc scrupuleusement en pratique la méthode indiquée dans le livre. Et c’est parti. Nous échangeons sur les différentes « problématiques » rencontrées. Dans un premier temps, il s’agit du bain. Ce moment qui était auparavant un moment de plaisir s’est transformé depuis quelques temps en pleurs perpétuels qui nous amènent parfois à l’abréger, voire à le reporter. 

Demain, je vous raconterai comment, ensemble, tout s'est dénoué pour le bain ! 
Et pour bien d'autres choses encore...
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épisode #7 (fin) : La Communication connectée, pour moi, c'est une porte ouverte sur un monde secret !

4/11/2014

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Depuis 2 ans avec la communication connectée...

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Voilà deux ans, maintenant, que j'ai découvert la Communication Connectée. C'est l'occasion de faire un peu le point...

Je me connecte à mes filles, en général quand elles dorment. Sinon, elles veulent attraper les baguettes ! Et la nuit, il n'y a pas de bruit ni de lumière parasite dans la maison, ça me convient bien. J'aime le faire la nuit éclairée par la lune ou une veilleuse... Le plus dur étant de trouver un moment où les filles dorment et où moi je n'ai pas besoin de dormir !

J'ai plus de mal à me connecter depuis la naissance de Maëlys, mais je ne désespère pas, cela reviendra en 2015, je pense : l'aînée sera à l'école et j'aurai moins besoin de porter la petite dans les bras... Et les réveils nocturnes seront sûrement moins fréquents.

J'aimerais réussir à communiquer grâce au test musculaire, mais je n'y arrive pas encore...

Nous utilisons la coco pour les situations de crise : quand nous trouvons les pleurs excessifs et que nos paroles semblent faire chou blanc.

Nous doutons beaucoup moins dans notre façon d'être parents, nous connaissons désormais les « points  faibles » de nos filles, les sujets à renforcer...

La coco me ramène à ce qui est important quand je m'égare dans mes besoins et dans les leurs : la chaleur humaine, l'attention et l'amour... Voilà ce que j'aime avec la coco, c'est que l'on va à l'essentiel et que l'on ne se perd pas dans les faux semblants. 

Encore merci pour cette précieuse technique qui m'a ouvert les portes sur mon futur métier : un mélange d'accompagnement de mamans, de communication et d'amour. Avec l'envie de les rassurer sur ce qui est le plus important et qu'il ne faut pas perdre de vue dans ce brouhaha d'informations. 

Marion
Novembre 2014


Si l'histoire de Marion vous a touché.e ou inspiré.e, vous pouvez laisser un petit commentaire sur cette page ! Merci à vous, merci pour elle...

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épisode #5 : De la grossesse à l'accouchement...

2/11/2014

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s'il te plaît, bébé, retourne-toi pour naître !

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Maëlys était en siège à la 2ème échographie... J'avais très peur qu'elle ne se retourne pas. Alors je lui ai dit que c’était important pour moi qu'elle se retourne à la 3ème écho. Elle m'a dit qu'elle pouvait se retourner.
La veille de cette 3ème écho, elle était encore siège... Et surprise à 9h le lendemain : j'avais l'impression de sentir son dos à droite dans la salle d'attente ! Effectivement, elle était maintenant la tête en bas, l'écho le confirmait !


La naissance de Maëlys

Peu avant sa naissance elle posait toujours les mêmes questions : « Vous êtes tous les 3 prêts ? » ou encore « Est-ce que tout le monde sera présent le jour de ma naissance ? ».

Ces messages ont été confirmés par mon amie Loriane qui avait les mêmes interrogations venant de Maëlys : elle avait insisté sur le fait que son papa soit présent. 

Et justement, Mathieu est tombé malade le mardi (la veille de sa naissance) et m'a annoncé à 20h qu'il n'irait pas au travail le lendemain. Louane, notre aînée, s'est exceptionnellement endormie ce soir-là à 21h (d'habitude, c'est plutôt 23h, minuit...).

A 21h15, je ressentais mes premières contractions et à 5h le lendemain matin, j'accouchais :-) Nous étions tous les 3, tous les 4 maintenant, bien ensemble pour sa naissance...

Le lendemain, je me sentais désespérée : je ne voulais pas embêter la sage-femme qui était déjà intervenue dans la nuit et surtout qui n'habitait pas à côté, mais Maëlys n'arrêtait pas d'hurler. Je pensais à du médical : une douleur ou infection quelconque... Alors, j''ai demandé à Loriane de se connecter à distance et de m'envoyer un message...

J'ai lu son sms à haute voix devant mon bébé : « Maëlys souhaite que tu l'accueilles et que vous preniez du temps pour vous rencontrer et vous retrouver juste toutes les deux, toi et elle. Elle se sent gênée car elle craint que Louane et Papa se sentent mis de côté ». Loriane avait vu juste. A cet instant, Maëlys - qui pleurait depuis plusieurs heures d'affilées - s'est arrêtée d'un coup au milieu du sms !!!!!! 

Maëlys et moi, nous nous sommes du coup "enfermées" dans la chambre et avons passé 5 jours à manger et dormir. Nous n'avons pas eu de visites de la famille et très peu de Louane et Papa... Elle a pu être entendue.

Demain, épisode #6 : Maëlys - le nouveau petit bébé de Marion et Mathieu - choisit sa Marraine via la Communication Connectée...
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épisode #6 : Une marraine pour Maëlys !

2/11/2014

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Tu veux bien être ma marraine, dis, Loriane ?

Peu de temps après sa naissance, je demande à Maëlys si elle souhaite une marraine en particulier et elle choisit Loriane.

Nous demandons alors à Loriane (l'amie qui nous avait prêté le livre sur le Communication Connectée, celle qui m'avait aidée à gérer mes émotions le jour de la naissance à domicile de Maëlys...), si elle accepterait de devenir la marraine.

Et là, Loriane nous regarde, un peu gênée mais avec un grand sourire : « elle me l'avait déjà demandé en Communication Connectée... » :-) 

C'est Loriane qui m'avait initiée à la Communication Connectée, il y a presque 2 ans. 
La boucle était bouclée !

Demain : 7ème et dernier épisode... Marion fait le point sur la Communication Connectée après 2 ans d'utilisation :-)
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    Ici, c'est la page des parents qui ont envie de raconter leur expérience avec la communication connectée. Comment ça se passe pour eux, qu'est-ce que ça change à la maison, qu'est-ce ça leur a apporté... 
    Si vous aussi, vous voulez nourrir cette page, envoyez-nous votre article !


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