![]() Nous nous sommes connus sur le tard, mon épouse et moi, nous avons tous les deux plus de 40 ans. L’arrivée de notre fils Augustin a été préparée avec Charlotte W. - notre haptonome - et après la naissance, nous avons souhaité garder le contact avec elle. La voir nous faisait du bien et c'est via son site web que nous avons eu connaissance de la Communication Connectée. Augustin avait alors environ 2 mois et nous avons demandé à Charlotte de nous apprendre comment utiliser cette technique. Au fil du temps, la « CoCo » - comme nous l’appelons - est devenue un véritable moyen de dialogue avec Augustin. Nous la pratiquons quasi quotidiennement. C’est souvent bref. Toujours dans le respect des règles : demander l’autorisation d’Augustin, accepter les non-réponses si Augustin ne souhaite pas répondre à une question, etc. Ce que nous trouvons formidable, c’est qu’elle est utile dans toutes sortes de situations : bien sûr en cas de pleurs, mais également pour lui permettre de s’exprimer sur son vécu de la journée à la crèche, s’assurer que tout va bien après un événement inattendu, ou tout simplement pour informer Augustin de ce qui va se passer. Ce que nous n’imaginions pas avant de nous lancer, c’est la richesse et la maturité de la vie intérieure d’Augustin, qui sait très bien ce qui lui convient. Nous sommes croyants et la CoCo nous permet d’échanger avec Augustin sur sa vie spirituelle, comme avec un adulte ; sa clairvoyance et sagesse nous dépassent parfois. Il nous pousse par exemple à aller vers les autres, en particulier ceux avec qui la communication est difficile dans la famille, toute chose qu’un enfant, même tout petit, ressent déjà. Augustin a aujourd’hui 18 mois et depuis quelques temps déjà, les baguettes sont posées sur la table du déjeuner de manière à ce qu'il puisse les prendre et les donner à papa ou maman pour signaler qu’il veut parler de quelque chose. Ou bien parfois, il dit tout simplement « coco », à l'oral, de lui-même... Nous sommes très à l’aise, l’un et l’autre, d'employer les baguettes pour communiquer. On essaie de faire les « CoCo » autant que possible à trois avec Augustin, mais parfois il y a urgence et elle se pratique alors à 2, avec l’un de nous deux, soit papa, soit maman. Et nous communiquons après entre nous sur ce qui a été échangé. Cela suppose bien entendu que nous nous fassions confiance. Notre vie de famille avec la CoCo est tellement fluide qu’on s’en émerveille encore à chaque fois. On se dit que les parents qui ne la connaissent pas passent à côté d’un trésor ! Vincent et Véronique, Belgique
0 Comments
J’imagine la frustration pour ces petits êtres de NE pas pouvoir exprimer leurs émotions et pensées... J'ai envie de vous partager mon expérience avec la Communication Connectée car ça a été comme une révélation pour moi. Quand j'ai découvert cette approche, mon bébé avait 1 an et j'ai commencé à m'en servir vers ses 18 mois. ![]() Depuis que j’ai appris que je portais ce petit bout dans mon ventre, j’ai commencé à lui parler et je sentais sa présence à l’intérieur de moi, mais aussi autour de nous. J’ai d’ailleurs senti son arrivée dans notre famille avant qu’il vienne dans mon ventre. Je pense que, d’une certaine façon, je communiquais avec sa sagesse ou son âme depuis le début. Quand il est né, j’ai continué durant un certain temps à lui parler dans ma tête. Je lui parlais très peu à haute voix avant de réaliser et qu’on me fasse la réflexion que je devais lui parler à voix haute aussi. Lors de la période des pleurs du soir, je me suis sentie complétement déboussolée. Je ne pouvais pas le calmer, rien ni personne ne pouvait l’apaiser, il pleurait longtemps et je savais qu’il avait besoin d’exprimer quelque chose que je n’arrivais pas à traduire. Ensuite on a eu des problèmes avec l’allaitement, il s’est mis à refuser le sein. J’ai du compléter avec du lait artificiel et il a fini par faire une confusion et totalement refuser le sein. Je l’ai très mal vécu et je savais que s'il faisait ça, c’était pour exprimer quelque chose. Pour moi, il était trop petit pour ne plus avoir besoin de mon lait et préférer du lait artificiel ou mon lait au biberon. On a découvert trop tard qu’il avait un gros reflux interne ce qui a énormément compliqué l’allaitement car il souffrait beaucoup, notamment en position allongée. Et depuis le départ, j’allaitais principalement en position allongée alors que je lui donnais le biberon en position semi-assise. Cette position le faisait moins souffrir et lui évitait les remontées acides mais ça, je l’ai compris plus tard. Durant tous ces moments difficiles mais aussi les jolis moments, je savais que je passais à côté de quelque chose dans la façon de communiquer avec lui. Et puis j’ai découvert la CoCo et ça a été la révélation. Comme quand on allume la lumière et qu’enfin on y voit plus clair. C’est vraiment devenu une évidence. Je me disais depuis sa naissance qu’il devait bien exister un moyen de communiquer avec un enfant préverbal, d'obtenir des réponses concernant ses besoins vitaux quand on ne sait plus pourquoi l’enfant pleure (et pas seulement à ce moment-là). J’imaginais cette frustration pour ces petits êtres de ne pas pouvoir exprimer leurs émotions et leurs pensées. Il suffisait de regarder ses yeux pour comprendre déjà toute l’ampleur de ses ressentis. J'ai lu le livre. puis j'ai suivi une formation en Suisse...![]() Après avoir lu "J'ai tant de choses à dire", j’avais un peu peur et je manquais de confiance en moi pour me lancer toute seule dans cet apprentissage. J’en avais tellement besoin que j’avais besoin d’être certaine de faire juste. D’ailleurs pour moi, il était évident que j’allais utiliser le test musculaire, il me semblait que les baguettes, c’était pour ceux qui ont besoin "de voir pour croire". Quand j’ai découvert qu’une formation se donnait en Suisse à côté de chez moi, c’était juste parfait. Je n’ai pas hésité à m’inscrire et vraiment j’en suis super heureuse. C’est le genre de choix qui change notre vie. Virginie Borgeaud transmet cette méthode avec beaucoup d’enthousiasme et de bienveillance, toujours dans l’écoute et le respect des croyances de chacun. Après le premier jour de cours, la CoCo a pris une place à part entière dans ma vie. Dès mon arrivée à la maison, j’ai pris mes baguettes pour communiquer avec mon fils et depuis je communique tous les soirs avec lui mais aussi durant la journée lorsqu’on en ressent le besoin. Finalement, les baguettes ont tellement bien fonctionné que je les ai tout de suite adoptées. Je pensais me mettre au test musculaire plus tard mais même après avoir suivi un cours sur le test musculaire, je continue de rester fidèle à mes baguettes. C’est juste un peu moins pratique quand je voyage ou lorsque je suis à l’extérieur. Nos routines à nous, avec la CoCo![]() Je communique généralement après le rituel du coucher, quand je sors de la chambre de notre enfant. Je vais me mettre à côté pour lui demander s'il souhaite dire ou entendre quelque chose. Je lui demande aussi s'il a un autre besoin. Parfois je lui demande s'il est d’accord de revenir sur un événement de la journée, positif ou négatif. Il en ressort beaucoup d’émotions, souvent positives, je le sens très apaisé par le fait qu’il puisse s’exprimer et être entendu. Je suis moi aussi beaucoup plus sereine car je n’ai jamais supporté de le laisser pleurer et de temps en temps, le soir il avait besoin de s’exprimer de cette façon, ce qui était très problématique pour moi car le coucher devenait alors compliqué. J’avais ce sentiment de l’abandonner si je le laissais pleurer même en restant à ses côtés. Grâce à la CoCo, les pleurs cessent dès que je commence à lui parler parce qu’il se sent entendu ou alors le fait d’exprimer son émotion lui permet de s’apaiser. Mais parfois, il me dit aussi qu’il a besoin de pleurer un peu et qu’il n'a pas forcément besoin que je reste auprès de lui. Ca reste compliqué pour moi mais au moins je ne culpabilise plus et dans ces cas-là, les pleurs ne durent pas longtemps. Pour moi, c’est super apaisant de pouvoir l’écouter et de l’accompagner comme il en a besoin. Parfois, je remarque aussi que le simple fait de me communiquer qu’il a mal quelque part l’apaise aussi rapidement. Enceinte « avant l'heure » ?![]() Il y a quelques mois, j’ai senti à nouveau une présence autour de moi, suivie d’un besoin viscéral de retomber enceinte. C’était début octobre, j’ai senti cette présence si fort que j’ai pensé être enceinte fin octobre. J’ai posé la question avec les baguettes et la réponse était "oui". Pourtant ce mois-là, je n’étais pas physiquement enceinte. Je me suis posée beaucoup de questions et j’ai eu des doutes sur ma capacité à utiliser les baguettes. Et oui, je continue toujours de douter de moi par moment. Je n’avais pourtant jusque là jamais rencontré de difficulté. J’avais même obtenu un code de "oui" et de "non" pour le bébé et j’avais commencé à communiquer avec lui. Au départ, un peu timidement parce que je n’étais pas très sûre de moi, et puis de plus en plus concrètement après. Le bébé ou l’âme qui allait s’incarner m’a bien confirmé sa présence, son désir de venir dans notre famille et dans mon ventre. Que j’étais prête pour ça et elle aussi. Finalement, début décembre j’ai appris ma grossesse ! C’était comme si ma sagesse me considérait enceinte déjà avant que je le sois physiquement. Je ne m’étais donc pas trompée et mes ressentis étaient justes. Je suis vraiment très heureuse de ce futur bébé qui va agrandir notre famille mais surtout je suis heureuse d’avoir ce moyen de communication avec lui. Durant ma première grossesse, je communiquais déjà beaucoup mais je n’avais pas la chance d’avoir des réponses si clairement et si facilement. Pour moi, c’est vraiment merveilleux de pouvoir accueillir cette enfant déjà dans l’écoute et pouvoir l’entendre si vite. Je me demande juste comment j’ai fait avant, durant ces mois sans CoCo. C’est un outil tellement extraordinaire et simple à la fois... Émilie Jaquet, Suisse « J'aimerais tellement, maman, prendre mon bain dans une bagnoire de 'grand' ! »![]() Sophie nous disait hier qu'elle aimait bien faire les communications connectées avec son petit Aloïs (15 mois) au moment de la pause biberon. Car c'est un moment tout calme et tendre, propice à la conversation... Aujourd'hui, elle nous raconte comment les difficultés liées au bain se sont résolues. Contexte : le bain - qui était auparavant un moment de plaisir - s'est transformé depuis quelques temps en pleurs perpétuels. Au point que Sophie et son conjoint ont parfois envie d'abréger le bain, voire de le reporter. Alors Sophie se lance et voici ce qui ressort de la communication connectée avec son Loulou... Sophie : Es-tu d’accord pour que nous résolvions ce problème du bain ? Aloïs : Oui S : Le moment du bain est peut-être mal approprié. Peut-être préfèrerais-tu après manger le soir ? A : Non S : Est-ce dû à la température de l’eau ? A : Non S : Est-ce qu’il y a des solutions possibles pour remédier à ce problème ? A : Oui S : Est-ce que c’est la petite baignoire en plastique dans laquelle on te baigne qui pose problème ? A : Oui S : Est-ce que si nous te baignions dans la grande baignoire, tout irait bien ? A : Oui S : Est-ce que tu as besoin d’autre chose pour régler ce problème ? (Je pose systématiquement cette question en fin d’échange, même si la solution semble avoir été trouvée). A : Non Je suis évidemment impatiente de mettre en pratique cet échange. Dès le soir-même, je supprime la petite baignoire en plastique « de bébé » et prépare le bain d'Aloïs dans la baignoire « de grand ». Tout se déroule à merveille ! Ce soir là, comme les suivants. Ce premier vrai résultat m’enchante et pour autant, j’ai tendance à le mettre sur le compte du hasard (même si je ne crois pas beaucoup en ce mot-là). C'était peut-être juste de la chance… Encore sceptique mais totalement désireuse de continuer ! On a trouvé des solutions simples, naturelles et tellement profitables pour de nombreux sujets !![]() Une autre problématique que nous rencontrons régulièrement est le fait qu’Aloïs pleure lorsque nous prenons notre petit-déjeuner. La communication connectée nous permet d’apprendre qu’il souhaite juste un câlin avant d'aller jouer dans son espace de jeu. Les pleurs cessent, nous déjeunons désormais dans le calme. Il en est de même pour les pleurs lorsque nous voulions coucher Aloïs chez des amis. Pareil pour le matin chez la nourrice, ou encore après mes congés, etc. De nombreux autres sujets ont trouvé des solutions, simples, naturelles et tellement profitables. Cette méthode fait désormais partie de notre quotidien. Elle nous permet de voir notre fils s’épanouir de plus en plus, être heureux et confiant car il sait qu’il est entendu et écouté. Demain, je vous raconterai ce que la Communication Connectée a changé dans les interactions entre Aloïs et sa soeur. Et aussi avec ma propre grand-mère... Depuis 2 ans avec la communication connectée...![]() Voilà deux ans, maintenant, que j'ai découvert la Communication Connectée. C'est l'occasion de faire un peu le point... Je me connecte à mes filles, en général quand elles dorment. Sinon, elles veulent attraper les baguettes ! Et la nuit, il n'y a pas de bruit ni de lumière parasite dans la maison, ça me convient bien. J'aime le faire la nuit éclairée par la lune ou une veilleuse... Le plus dur étant de trouver un moment où les filles dorment et où moi je n'ai pas besoin de dormir ! J'ai plus de mal à me connecter depuis la naissance de Maëlys, mais je ne désespère pas, cela reviendra en 2015, je pense : l'aînée sera à l'école et j'aurai moins besoin de porter la petite dans les bras... Et les réveils nocturnes seront sûrement moins fréquents. J'aimerais réussir à communiquer grâce au test musculaire, mais je n'y arrive pas encore... Nous utilisons la coco pour les situations de crise : quand nous trouvons les pleurs excessifs et que nos paroles semblent faire chou blanc. Nous doutons beaucoup moins dans notre façon d'être parents, nous connaissons désormais les « points faibles » de nos filles, les sujets à renforcer... La coco me ramène à ce qui est important quand je m'égare dans mes besoins et dans les leurs : la chaleur humaine, l'attention et l'amour... Voilà ce que j'aime avec la coco, c'est que l'on va à l'essentiel et que l'on ne se perd pas dans les faux semblants. Encore merci pour cette précieuse technique qui m'a ouvert les portes sur mon futur métier : un mélange d'accompagnement de mamans, de communication et d'amour. Avec l'envie de les rassurer sur ce qui est le plus important et qu'il ne faut pas perdre de vue dans ce brouhaha d'informations. Marion Novembre 2014 Si l'histoire de Marion vous a touché.e ou inspiré.e, vous pouvez laisser un petit commentaire sur cette page ! Merci à vous, merci pour elle... les choses devenaient claires : |
Qui écrit ?Ici, c'est la page des parents qui ont envie de raconter leur expérience avec la communication connectée. Comment ça se passe pour eux, qu'est-ce que ça change à la maison, qu'est-ce ça leur a apporté... Categories
All
Archives
June 2015
|