![]() J'ai découvert la Communication Connectée (CoCo) assez tard, ma fille avait déjà 3 ans. En une semaine, j’ai dévoré le livre - J'ai tant de choses à dire - qui explique la technique et je me suis lancée aussitôt. Ca a directement bien marché pour moi, avec le test musculaire. Et puis j'ai eu envie d'aller plus loin. D'être accompagnée aussi, par quelqu'un qui pratiquait déjà la technique, rassurée peut-être... Alors j’ai contacté Charlotte W., une formatrice à la CoCo. Elle m’a offert mes premières baguettes et... une initiation inoubliable. Ma fille Mia (3 ans) aime beaucoup jouer. J'avais remarqué que souvent, le thème de la gémellité était bien présent dans ses activités. Par exemple, elle joue souvent avec ses deux petits lionceaux en peluche. Elle les appelle « Petite Mia « et « Oscar ». Elle a reçu Petite Mia en premier, puis Oscar est arrivé 6 mois plus tard (sa grand-mère avait acheté une deuxième peluche - au cas où la première se perdrait - et Mia l’a trouvée dans une armoire !). Mia aime aussi se faire appeler Princesse Leia et elle nous dit que son frère jumeau - Luc Skywalker, je n'invente rien ! - est « resté dans le ventre de maman et qu’il arrivera plus tard ». J’observe ses jeux avec amusement, les enfants se créent souvent des mondes imaginaires. Et pourtant, c’est lors de cette rencontre avec Charlotte, en privé dans mon salon, que je comprends enfin ce que raconte Mia à travers ses moments de jeux. Lors de cette rencontre "CoCo", nous nous sommes connectées - Charlotte et moi, l’une après l’autre - à une « âme » qui avait un message à me délivrer. Une âme que j’avais sentie très présente juste après la naissance de ma fille. Cela avait été difficile de mettre des mots dessus à l'époque. Mais à présent, nous avions tout l'espace pour nous parler. Je commence par questionner cette âme pour vérifier s'il s'agit bien de celle que j'avais sentie si fortement 3 ans auparavant. « Oui ! ». Plus précisément, il s'agit du jumeau de Mia. Un jumeau qui n’est pas resté, un jumeau "perdu". Il me confie ensuite qu'il aimerait se réincarner peut-être plus tard. Et surtout qu'il se sent heureux d'avoir pu être entendu. D'avoir pu prendre sa place. De mon côté, je me sens légère et libérée. Je n’avais pas eu, à l'époque, de perte physique d’un jumeau lors de la grossesse de Mia… mais mon ressenti et les jeux de Mia ont pris tout d'un coup, au cours de cette Communication Connectée, un sens évident à mes yeux. J’ai enfin pu mettre des mots sur mon ressenti. J’étais émue et touchée d’avoir fait cette rencontre, tellement sacrée pour moi. Charlotte venait de m'apporter cette petite pierre que je cherchais, je pouvais maintenant continuer mon chemin de façon autonome avec la Communication Connectée, je me sentais prête. Depuis, j’utilise la CoCo presque tous les jours, pour moi ou pour notre fille. J’ai d'ailleurs initié mon compagnon à la méthode. Et de le voir pratiquer avec tant de facilité m’a encore plus encouragée à l’intégrer dans le quotidien. Mon compagnon a même fabriqué une petite paire de baguettes pour notre fille, qui sont maintenant toujours dans mon sac… Mes "baguettes de voyage", en somme ! Céline A. Belgique
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Une joie débordante !Ce que je découvre, lors des CoCo avec notre bébé, nous sert dans la vie quotidienne également avec ses grands frère et sœurs. En particulier lorsque j’ai découvert que notre bébé pouvait pleurer pour exprimer des émotions « positives » agréables, je me suis aperçue qu’on n’accordait pas toujours autant d’attention aux manifestations des émotions agréables – la joie en particulier – qu’aux expressions des émotions désagréables chez nos « grands-pas-si-grands ». ![]() Je me souviens d’une fois, juste après cette découverte en CoCo avec notre dernier-né, où son frère de 7 ans et ½ était rentré de l’école manifestement en grande joie. Et cette joie débordait tellement qu’il n’arrivait pas à parler ni même à dire « je suis content ». Il m’a demandé alors les mêmes astuces qu’il utilise pour contenir une trop grande colère ou tristesse, à savoir regarder un écran. J’ai refusé et ai alors accordé une attention particulière à notre fils à ce moment-là, et à son émotion intense qui ressemblait à de la joie. Je lui ai proposé de dire « je suis content ! » aussi fort et aussi vite que possible en le répétant autant de fois qu’il en avait besoin, si c’était bien l’émotion concernée. Il l’a fait avec conviction et sourire jusqu’aux lèvres. Ce n’était manifestement pas suffisant et je lui ai alors proposé de dessiner ce qui se passait à l’intérieur de lui, comme il le faisait parfois pour la colère ou la tristesse. Il en a été enchanté et s’est rué sur un crayon et une feuille. Il a pu exprimer sur papier, puis en origami qu’il a colorié, toute son émotion agréable tellement intense qu’elle le dépassait. Au bout d’un quart d’heure, ça l’a apaisé et il a pu ensuite seulement parler de l’évènement à la source de sa joie : une dictée réussie J. Je me suis aperçue qu’il y a de nombreux moments où il finit par exploser de colère à la maison peut-être simplement parce qu’une grande émotion agréable du type de la joie ou de la gratitude n’a pas pu être exprimée ou entendue en temps et en heure. C’est dommage ! Depuis, j’y fais plus attention et c’est plus confortable pour chacun. Il m’est arrivé aussi de faire une CoCo directement avec un de nos « grands-enfants-pas-si-grands » à propos d’un stress scolaire notable. On a démarré en sa présence et puis il est parti à l’école et j’ai continué à distance. Ca a été vraiment intéressant – comme toujours ;-) ! – et en mettant à jour un besoin profond et une émotion ancienne, ça nous a donné très rapidement des pistes pour l’aider. Même si je ne me sers pas de la communication connectée fréquemment, lorsque nous l’utilisons c’est toujours une expérience unique, surprenante et porteuse de réflexion utile à toute la famille ensuite. Rachel J’ai démarré la Communication Connectée quand mes filles avaient 2 et 5 ans… La parole était donc notre outil de communication (et l’est restée bien sûr), mais parfois je me suis sentie bloquée. Alors quand je ne parvenais pas à comprendre mes filles, j’utilisais la CoCo pour mieux saisir ce qui les animait et pour les accompagner… Voici 3 petites brèves issues de notre quotidien. Sortir des interprétations et découvrir le vrai message de son enfant...Une de nos premières CoCo qui m’a profondément marquée, c'était avec Janis, qui avait alors 5 ans. Elle avait des bouchons d’oreille très régulièrement. Etant à cette époque-là en pleine séparation avec le papa, j’étais convaincue qu’elle ne voulait pas entendre et se créer inconsciemment ses bouchons. Interprétation rapide…et loin du compte ! En réalité, ma grande m’a emmenée sur la piste alimentaire : c'était la consommation de lait de vache qui lui posait problème. J’ai creusé avec elle comment ne plus avoir ce souci : nous avons supprimé les biberons puis les yaourts, et aussi diminué le fromage. Les bouchons ont cessé dans les jours qui ont suivi… C’était tellement magique que je ne voulais pas y croire ! Plus d’un an après, elle n’en a toujours pas refait. Que l'univers de nos enfants est riche !![]() Autre anecdote... Pendant quelques temps, Soledad (ma seconde fille) s’était mise à grincer des dents. À tous moments de la journée... Et cela m’agaçait énormément. Cela a finit par m’inquiéter aussi… Je me suis alors décidée à faire une CoCo avec ma fille. Et j’ai étais très surprise de l’absence de lien logique - pour moi - entre son comportement et ce qu’elle m’a dit. Pour résumé, elle avait des interrogations par rapport à l’eczéma de sa sœur. Elle souhaitait également que sa sœur lui en parle, lui raconte ce qu’elle ressentait et pour finir elle voulait que je délivre un message à son papa. Si elle ne me l'avait pas "dit" à travers cette communication connectée, je n’aurais jamais pu deviner tout ça ! Dès le lendemain, beaucoup moins de grincements. Et 3 jours après plus du tout ! Magique, vous dites ? :-) Papa, c'est mon Papa... quoique vous viviez ensemble !Et puis hier… Soledad, 3 ans, est malade. Elle doit se moucher, avoir le nez nettoyé, avoir un bain d’oreille. C’est la croix et la bannière pour lui faire ces soins. Je ne reconnais plus ma fille, ni notre relation… Je me sens triste et désarmée face à ce changement de comportement soudain, alors j’attrape mes baguettes.
Au fil de la CoCo, Soledad m’exprime ceci : elle a besoin que j’informe son papa qu'elle est malade en ce moment, et plus globalement elle aimerait que je communique davantage avec son papa sur ce qu’elle vit… Peu importe ce que je vis avec lui, ma fille me rappelle qu’il est surtout son papa quoi qu’il se passe, et que je peux moi faire des pas vers lui en lui parlant du quotidien de nos enfants… Merci ma fille ! Camille S. France ![]() À l'instant : Marceau, 5ans ½, est sur le canapé, fiévreux. Céleste, sa soeur de 3 ans, saute partout autour de lui. Après lui avoir demandé plusieurs fois de le laisser au calme, j'entame une Communication Connectée avec Céleste. En résumé : "Je veux que Marceau me parle de ses symptômes, je suis inquiète". Puis : "Je veux lui dire que je lui envoie mon amour pour qu'il guérisse vite". Et enfin : "Je veux lui dire que je suis confiante et qu'il sera guéri pour dimanche car nous sommes inviter à manger chez des amis". Voilà, c'était il y a 15 minutes... Et depuis, elle joue tranquillement de son côté ;-) Fanny S. France ![]() Jade, ma fille de 6 ans, a fait une chute de poney il y a quelques mois. La prof, qui était embêtée par cet accident, m'a donné beaucoup d’informations sur l’état de santé de ma fille, mais finalement très peu sur la façon dont les choses s'étaient passées. En rentrant, plus la soirée passait et moins je sentais ma fille. J'avais l'impression qu’elle se braquait. Ni elle ni moi n’avions imaginé qu’elle puisse tomber, aucune de nous n’avait anticipé ce genre d'accident. Elle était mal mais elle ne savait pas en parler, c’était évident. Alors je lui ai proposé une communication connectée. Et ça a été génial ! La "CoCo" lui a permis de clarifier ses idées, de mettre des mots sur ses émotions, de lâcher de grosses larmes et surtout de découvrir un univers que nous n’imaginions même pas : l’univers du poney. En effet, au fil de la CoCo, nous nous sommes préoccupées du poney - surnommé Vanille - et nous avons discuté avec lui. Vanille nous a expliqué ceci : juste avant l'accident, il avait eu peur d’une tache noire, qu’il n’avait pas su reconnaitre dans un premier temps (c'était un oiseau). Il était alors très inquiet pour sa cavalière (ma fille) car c’était la première fois qu’il faisait tomber quelqu’un. Il était triste lui aussi, il s’en voulait... au point qu'il ne souhaitait plus avoir quelqu’un sur son dos de peur que cela ne se reproduise ! Bref, lui aussi s’était braqué... Donner la parole au poney a permis à Jade d’avoir un autre regard sur la situation, de mieux la comprendre, de dépasser ses peurs, et de rassurer Vanille... qui, depuis, va bien et prend encore plus soin de ses cavaliers. Quant à Jade, elle a rapidement retrouvé sa confiance et continue à s’éclater à ses cours de poney ! Isabelle M. Gorges, France |
Qui écrit ?Ici, c'est la page des parents qui ont envie de raconter leur expérience avec la communication connectée. Comment ça se passe pour eux, qu'est-ce que ça change à la maison, qu'est-ce ça leur a apporté... Categories
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June 2015
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